Marius Munteanu

Des nouvelles rafraîchissantes du "Vieux Continent"

Inter-European Division

L’Europe, aussi appelée le Vieux Continent, berceau de la civilisation occidentale, est le deuxième plus petit continent après l’Australie, ne couvrant que deux pour cent de la surface de notre planète. La Division intereuropéenne (EUD) couvre la majeure partie de l’Europe continentale du Portugal à la Roumanie. Elle coordonne l’activité de l’Église adventiste du septième jour dans 20 pays (11 unions), dessert une population de 340 millions de personnes avec l’aide d’environ 180 000 croyants.

Sur l'ensemble du territoire actuel de l’EUD, il se parle plus de 12 langues principales ainsi que de nombreux dialectes locaux. La majorité des gens dans les pays de l’EUD se déclarent chrétiens (76 pour cent), l’Europe regroupant 26 pour cent des chrétiens du monde. Environ 5 pour cent de la population européenne est musulmane (2,4 pour cent des musulmans dans le monde). Ainsi, l’islam est la deuxième religion la plus répandue en Europe1. D’un point de vue économique, un tiers de la richesse du monde se trouve en Europe, qui est le continent le plus riche2.

Le territoire de l’EUD a été aussi le berceau de genres musicaux spécifiques depuis l’époque de la musique ancienne (après la chute de l’empire romain) et continuant avec les périodes médiévale, de la Renaissance, baroque, classique, romantique et moderne. Plus encore, c’est sur le territoire de l’EUD que les premiers fondements de l’enseignement supérieur dans le monde ont été posés, d’abord par l’université de Bologne, la pionnière, en 1088, suivie des six plus vieilles universités au monde : Salamanque en Espagne en 1134, la Sorbonne à Paris en 1160-1250, Padoue en 1222, Naples en 1224, Sienne en 1240 et Coimbra au Portugal en 12903.

C’est le territoire actuel de l’EUD qui a été la première destination missionnaire adventiste en dehors des États-Unis.  En 1874, J.N. Andrews s’installait à Bâle, en Suisse, d’où il a lancé une courageuse activité missionnaire de colportage, établi une maison d’édition et imprimé Les Signes des Temps4.

Bulletin de rendement

Les défis

Au cours du quinquennat 2015-2020, l’éducation adventiste dans l’EUD a accompli un progrès significatif tant au niveau du concept que de l’image même si les résultats quantifiables sont encore un travail en cours. Le nombre relativement petit de membres (la deuxième plus petite population adventiste de toutes les divisions) diminue la capacité de l’Église à se mobiliser de manière spectaculaire et à créer un impact rapide ; l’impressionnante diversité culturelle ne permet pas à l’Église de s’adresser aux gens en utilisant un message unitaire ; le taux de natalité généralement négatif réduit la population d’âge scolaire qui pourrait s’inscrire dans nos écoles ; pour beaucoup, l’éducation gratuite ou subventionnée par l’État semble plus attrayante, et il faut tenir compte du coût de l’éducation privée donnée par l’Église ; le nombre relativement petit de programmes d’études offerts (tant au niveau secondaire que tertiaire) rend nos écoles moins attrayantes que d’autres ; la meilleure rémunération offerte par les établissements d’enseignement d’État ou privés nous empêche d’augmenter le nombre d’enseignants adventistes qualifiés ; mais, enfin et surtout, convaincre les membres d’église, les pasteurs et les parents que les établissements d’enseignement adventistes ont des normes académiques élevées est une bataille que nous menons sur une base quotidienne.

Les progrès

En dépit de ces obstacles évidents et apparemment insurmontables, les écoles de l’EUD continuent à se développer conceptuellement, à se former de manière globale, à se développer numériquement, et à exercer un impact considérable sur la population en général. Par exemple, dans l’énorme majorité de nos écoles primaires et secondaires la plupart des étudiants sont issus de différentes traditions religieuses (ce ne sont pas des adventistes du septième jour) ; elles ont atteint leur capacité d’admission maximale, ou ont sérieusement augmenté leurs inscriptions ; elles ont de longues listes d’attente ; et elles ont rempli les exigences légales permettant de recevoir l’accréditation de l’État.

L’éducation adventiste – un secteur stratégique pour l’EUD

L’administration de l’EUD a proposé, et le comité exécutif a voté, pour le quinquennat 2015-2020, que l’éducation adventiste devrait être considérée comme l’un des domaines stratégiques de la Division en adoptant les priorités absolues suivantes :

1. Offrir un meilleur accès à l’éducation adventiste (aux adventistes et à la population générale) en mettant l’accent sur les niveaux primaire et secondaire. L’indicateur clé de performance  (Key Performance Indicator—KPI) sera un nombre accru de jardins d’enfants, d’écoles primaires et secondaires à proximité des zones densément peuplées.

En cherchant à atteindre cet objectif, une des décisions les plus visionnaires a été l’approbation de la Division d’une subvention financière de cinq millions d’euros pour le développement d’établissements d’éducation primaire et secondaire pour la période 2018-2022.

2. Faire fonctionner nos établissements d’enseignement comme des entreprises de service communautaire et de rayonnement social. Le KIP s’assurera que nos établissements d’enseignement existants sont des centres d’influence pour leurs communautés. Pour aider nos établissements d’enseignement primaires et secondaires à développer leur potentiel missionnaire, la Division a voté de soutenir les écoles qui ont du mal à faire face à leurs dépenses courantes – particulièrement celles qui ne reçoivent aucun soutien financier de l’État – en leur octroyant un fond de roulement.

3. Faire face à la viabilité des établissements de formation pastorale. Le KPI sera l’utilisation des ressources humaines et financières des établissements théologiques de manière aussi efficace que possible.

Dans le but de favoriser l’excellence dans la formation et la pratique pastorale, le Conseil de l’enseignement pastoral et théologique (Board of Ministerial and Theological Education – BMTE) de l’EUD a défini un programme d’étude pour l’enseignement pastoral et a défini des critères communs pour l’emploi sur notre territoire. En plus de cela, le BMTE de l’EUD cherche à aider les étudiants en théologie à parvenir à une meilleure compréhension de leur appel et de ce que le ministère pastoral implique : un niveau plus élevé de maturité pour aborder les questions et les problèmes liés aux situations de la vie réelle, ainsi qu’une orientation plus précise sur les aspects pratiques du ministère et sur la façon dont les questions théologiques influencent la mission. Afin d’atteindre cet objectif, les membres du BMTE de l’EUD ont rédigé et voté un document intitulé Core Curriculum Content for Ministerial and Theological Education in the Inter-European Division qui met nettement plus l'accent sur les sujets liés à la théologie pratique.

Pour répondre aux demandes d’une formation continue du personnel des écoles adventistes, nous avons organisé pendant le quinquennat 2015-2020 des formations pour les présidents/directeurs, les directeurs commerciaux, les collecteurs de fonds, les enseignants de Bible, les aumôniers, les cuisiniers, les bibliothécaires, les surveillants de dortoirs et les membres de l’équipe de l’Accrediting Association of Seventh-day Adventist Schools (AAA). La Division a également coorganisé d’autres événements tels que la convention biennale des enseignants de théologie européens (Convention of the European Theology Teachers – ETTC) en partenariat avec les Divisions transeuropéenne (TED) et eurasienne (ESD) et différentes écoles de théologie.  La Division inter-européenne, par l’intermédiaire de ses représentants, s’est jointe à des réunions qui ont facilité la connaissance thématique et le dialogue parmi les enseignants, dont les conventions pour enseignants en Allemagne, Roumanie et Espagne.

Une demande croissante pour une éducation adventiste primaire et secondaire

Malgré le nombre relativement petit d’écoles primaires et secondaires dans l’EUD, elles sont sur la pente ascendante en termes de la qualité de l’enseignement offert et des inscriptions. De plus, elles ont eu de nombreuses et audacieuses idées visionnaires quant à la façon dont l’idée de l’école est née et s’est réalisée dans la région concernée ou dans l’institution, mais aussi des idées visionnaires pour l’avenir. Par manque d’espace, nous ne donnerons qu’un seul exemple de chaque union qui gère des écoles primaires et secondaires :

  • l’Union autrichienne – le nouveau bâtiment d’une église locale à Bogenhofen a réservé suffisamment de place pour une école primaire qu’elle gère actuellement, quand un nouveau bâtiment sur le campus était en projet ;
  • l’Union bulgare – en 2019, le premier projet éducatif (une école maternelle) a été initié par un groupe de jeunes gens laïques avec le soutien de la direction de l’Union ;
  • l’Union tchécoslovaque – la première école adventiste à Prague qui fournit un enseignement primaire et secondaire vient tout juste de passer par le premier processus d’accréditation de l’AAA. Le projet a été audacieusement initié dans la capitale du troisième pays le moins religieux du monde5 par un homme d’affaires qui a offert à l’Église un bâtiment complètement rénové et bien équipé à cette fin ;
  • l’Union franco-belge – à côté de la faculté de théologie bien connue de Collonges, en France, un établissement primaire et secondaire très estimée est actuellement en fonction ;
  • l’Union nord-allemande – sur le territoire même de l’ancienne République démocratique allemande, l’église à Oranienburg gère une école primaire et secondaire. Dernièrement, l’Union nord-allemande a investi deux millions d’euros pour un nouveau bâtiment ;
  • l’Union portugaise – l’école primaire Setubal offre des cours pour les élèves dans quatre niveaux différents. Elle utilise deux classes qui accueillent aussi l’école du sabbat des enfants les samedis. Leurs cultes quotidiens ont lieu dans la salle des repas en commun de l’église locale ;
  • l’Union roumaine – il y a trois ans de cela l’école Excelsis à Ploiesti s’est ouverte avec 38 élèves dans un espace qui avait été acheté et aménagé par la fédération locale. Depuis, chaque année scolaire , elle a doublé ses inscriptions ;
  • l’Union sud-allemande – l’école adventiste Rastatt poursuit ses activités d’enseignement dans une ancienne école publique prêtée par la mairie locale ;
  • l’Union espagnole de la Fédération des églises – à cause d’un manque extrême d’espace, une des plus anciennes écoles en Espagne, Urgell, Barcelone, a construit un grand terrain sportif sur le toit d’une église locale ;
  • l’Union suisse – l’école primaire adventiste de Zurich jouit des résultats de l’initiative de la Fédération suisse allemande qui a décidé de construire un nouveau siège social et d’y héberger trois institutions : l’église locale, la fédération régionale et l’école adventiste.

Actuellement, l’Église adventiste dans l’EUD dirige 41 écoles primaires, 31 écoles secondaires et trois écoles de formation professionnelle (écoles d’infirmières/infirmiers). Nous comptons aussi huit établissements d’enseignement supérieur sur notre territoire. Nous les mentionnons dans l’ordre de leur fondation : l’université adventiste de Friedensau, en Allemagne (1899) ; l’institut théologique adventiste de l’Union tchécoslovaque, à Sazava, République tchèque (1920) ; l’université adventiste de Collonges-sous-Salève, en France (1921) ; l’université Adventus (autrefois l’Institut théologique adventiste roumain), à Cernica, en Roumanie (1924) ; l’université adventiste italienne de Villa Aurora, à Florence, en Italie (1940) ; le collège adventiste de Sagunto (Valence), en Espagne (1942) ; le séminaire théologique bulgare à Sofia, en Bulgarie (1948), fermé temporairement ; et le séminaire de Bogenhofen, en Autriche (1949). Cinq de ces établissements sont fondateurs et bénéficiaires du programme international Adventist Colleges Abroad (ACA) qui attirent dans nos écoles des étudiants du monde entier qui s’intéressent aux langues et aux cultures étrangères – le français est enseigné à Collonges-sous-Salève, en France ; l’allemand à Bogenhofen, en Autriche et à Freidensau, en Allemagne ; l’italien à Villa Aurora à Florence, en Italie ; et l’espagnol à Sagunto, en Espagne.

Témoignages vivants

Parce que Dieu se caractérise par sa générosité, il nous donne fréquemment des signes de sa bonté et la confirmation que l’éducation adventiste amène à Christ6 plus de gens que les autres méthodes courantes de projets missionnaires de l’Église. Il y a tellement d’histoires étonnantes d’enfants et de jeunes qui de partout dans l’EUD ont trouvé le salut en Jésus-Christ pour avoir fréquenté nos écoles. Nous entendons aussi des histoires de professeurs qui ont fait la même expérience pour avoir enseigné ou servi comme administrateurs de l’éducation dans nos écoles. Nous partageons maintenant quelques exemples de la manière dont l’éducation adventiste continue à transformer des vies.

Il y a 15 ans, un homme d’affaires de Prague a été baptisé dans l’Église adventiste du septième jour. Rapidement, il a découvert les livres de l’Esprit de prophétie et les a lus avec recueillement. C’est ainsi qu’il a découvert que les parents adventistes devraient envoyer leurs enfants dans les écoles adventistes. Cependant, l’absence d’école proche dans laquelle il pourrait envoyer ses enfants l’a inspiré d'en créer une. Homme d’affaires, il a utilisé ses ressources personnelles pour ouvrir la première école adventiste du septième jour dans le troisième pays le plus séculier au monde, la République tchèque. Il est intéressant de noter que dans ce pays les écoles confessionnelles rattachées à une église sont mieux classées que les écoles publiques ou privées. Actuellement, 159 des 209 élèves de l’école Elijah ne sont pas adventistes. Voilà quelques expériences rapportées par les parents :

De Prague : « Après deux années d’école à la maison, j’ai signalé sur Facebook que je cherchais une école inclusive qui favorisait l’acceptation et une approche personnelle. La réponse que je reçus fut décourageante : Vous ne trouverez pas une telle école à Prague. Finalement, je reçus une information sur l’école Elijah. Deux heures après y être allé, mon fils me dit :  J’aime ça ici… Finalement, il était de retour dans le genre d’école dont nous avions rêvé pendant deux ans. »

Une autre maman raconte : « Ma fille adolescente se plaisait à l’école publique, mais je cherchais quelque chose de différent. Je lui ai proposé un défi à relever pendant trois mois. Après deux semaines passées dans cette nouvelle école, elle me fit savoir qu’elle ne désirait plus retourner à son ancienne école. »

Un élève a confessé que depuis qu’il était inscrit à l’école Elijah, il n’avait jamais cherché d’excuse pour rester à la maison, comme prétexter d'avoir mal à la gorge.

Les cinq prochaines années promettent de nous apporter  encore beaucoup plus d’expériences passionnantes en provenance de Prague.

De France : Le directeur de l’école primaire adventiste Maurice-Tièche à Collonges-sous-Salève, en France, nous a communiqué deux cas de rétroaction inattendue, il y a quelques années. Une architecte bien connue en France était en train de faire les plans de la rénovation de la maison de Jacques Chirac, ancien président de la France. Un jour, elle a averti la famille Chirac qu’elle serait absente de son travail parce qu’elle devait voyager jusqu’en Haute-Savoie pour visiter une école pour sa fille. La fille de Jacques Chirac, Claude, qui avait entendu la conversation, a demandé : « Quelle école dans cette région vaut la peine d’y envoyer votre enfant ? » Quand l’architecte a répondu : « Maurice-Tièche », la réponse de Claude Chirac a été : « Oui, l’école Maurice-Tièche vaut effectivement tous les efforts ! » Puis elle a ajouté une liste d’autres arguments en faveur de cette école.

Une expérience similaire implique Anne-Aymone Giscard d’Estaing, la femme d’un autre ancien président français, Valéry Giscard d’Estaing. Elle avait chaudement recommandé à une famille adventiste de Paris le lycée et pensionnat Maurice-Tièche puisque le petit-fils du président y avait été inscrit environ dix ans plus tôt. La famille adventiste a suivi son conseil et a envoyé ses deux enfants à Maurice-Tièche pour leur préparation aux examens du baccalauréat.

De Roumanie : Après une longue période de suprématie communiste, l’Église adventiste de Roumanie est entrée dans un processus large et complexe de développement multilatéral. Depuis la dernière décennie du siècle précédent, l’éducation adventiste avait cessé d’être une priorité en Roumanie.  Ainsi, lorsque les discussions sur la perspective de transformer le séminaire théologique situé à Bucarest en université ont débuté, les administrateurs de l’Union ont réalisé que l’établissement n’avait pas le personnel suffisamment qualifié – au niveau administratif et éducatif – pour gérer efficacement la transition. C’est pourquoi l’Union roumaine a décidé de nommer à la présidence un enseignant adventiste en formation pour gérer les affaires courantes de l’établissement alors que la représentation légale et externe était confiée au Dr Ion Toma – son nom est utilisé avec sa permission –  un enseignant non adventiste qui remplissait les critères juridiques et exercerait les fonctions de recteur. Avec ce leadership, l’université n’a cessé de s’améliorer et en 2016, elle a reçu l’accréditation institutionnelle du gouvernement roumain pour une durée légale maximale (5 ans) et avec la deuxième meilleure notation (Confiance). Au cours de ses plus de dix ans de service en tant que recteur, Ion Toma s’est engagé résolument à maintenir la croissance de l’établissement jusqu’à ce qu’il reçoive son accréditation finale. Que l’université lui a-t-elle donné en retour ? Plus que n’importe quoi d’autre, l’université Adventus à Cernica a été pour Ion Toma un endroit où il a découvert la dimension spirituelle de la vie, et où son cœur a graduellement commencé à changer au point qu’en 2017, il s’est complètement consacré à une relation avec Jésus et a été baptisé dans l’Église adventiste.

À l’approche d’un nouveau quinquennat, l’éducation adventiste va demeurer une priorité dans l’EUD, en termes d’investissements financiers et de valorisation de sa contribution à la mission de l’Église adventiste du septième jour. Voici quelques-unes des nouvelles initiatives déjà planifiées :

  1. S’assurer que toutes les écoles adventistes du septième jour soient éligibles et préparées pour le processus d’accréditation de l’AAA. Cela aidera à accroître la sensibilisation du public adventiste et non adventiste quant à la valeur de l’éducation informelle (en général) et de l’éducation adventiste formelle (en particulier).
  2. Faciliter l'accès de nos écoles aux fonds éducatifs publics ou de l'Union européenne.
  3. Servir de médiateur pour le développement de la collaboration entre nos écoles sur les projets Erasmus et Erasmus+ (pour les étudiants et les professeurs) et dans d'autres domaines d'intérêt commun.
  4. Créer une banque de données sur les besoins des écoles adventistes dans l’EUD.
  5. Convoquer un congrès quinquennal des enseignants de l’EUD.

Avec un soutien financier favorable et continu et un esprit de mission, nous continuerons à construire sur ce que nous faisons déjà afin que l’éducation au sein de l’EUD continue à être une force transformatrice dans la vie des étudiants, des administrateurs, des professeurs, et des parents.

Marius Munteanu

Marius Munteanu, Ph.D., est le directeur de l'éducation et de l'aumônerie de la Division intereuropéenne des adventistes du septième jour à Berne, en Suisse.

Référence recommandée :

Marius Munteanu, Des nouvelles rafraîchissantes du Vieux Continent, Revue d’éducation adventiste, n°56.

NOTES ET RÉFÉRENCES

  1. L’Europe en chiffres (2015) : https://facts.net/europe/.
  2. Ibid.
  3. Laura Tucker, Ten of the Oldest Universities in the World (2015) : https://www.topuniversities.com/blog/10-oldest-universities-world.
  4. Richard W. Schwarz et Floyd Greenleaf, Light Bearer: A History of the Seventh-day Adventist Church (Nampa, Idaho: Pacific Press, 2000), 141-143.  
  5. Oishimaya Sen Nag, "The Least Religious Countries in the World." WorldAtlas (11 juillet 2018): worldatlas.com/articles/least-religious-countries-in-the-world.html.
  6. Le nombre total de baptêmes pour la période 2006-2015 était de 427 313 [chiffres en attente pour 2020]. Statistiques fournies par le département de l'Éducation, de la Conférence générale des adventistes du septième jour. Pour plus d’information, voir John Wesley Taylor V, “Joining and Remaining: A Look at the Data on the Role of Adventist Education,” The Journal of Adventist Education 79:3 (avril-juin 2017): 39-46. Disponible à: https://www.journalofadventisteducation.org/en/2017.3.8.
  7. Les programmes EuRopean Community Action Scheme for the Mobility of University Students (Erasmus et Erasmus+) offrent des possibilités d'éducation aux personnes de tous âges et aux organisations des pays de l'Union européenne (UE). Erasmus offre aux étudiants des possibilités d'échange leur permettant d'étudier dans n'importe quel établissement d'enseignement supérieur et/ou université de l'UE. Erasmus+ offre un niveau supplémentaire de formation scolaire et professionnelle, de stages, de possibilités de bénévolat, de mobilité sociale et de développement linguistique. Pour plus d'informations, voir : Erasmus : https://www.erasmusprogramme.com/post/what-is-the-erasmus-programme; et Erasmus+: https://ec.europa.eu/programmes/erasmus-plus/about_en.